Titre : |
La ville en France au Moyen Age des Carolingiens à la Renaissance |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Chédeville, André, Auteur ; Le Goff, jacques, Directeur de publication |
Editeur : |
Editions du Seuil. |
Année de publication : |
1980 |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-02-028201-7 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Du début du Xème siècle au milieu du XIIème siècle, c'est la phase de genèse, d'ascension urbaine. Du milieu du XIIème siècle aux environs de 1330-1340, c'est l'apogée de la ville urbaine médiévale. Du milieu du XIVème au début du XVIème siècle, c'est une période à la fois de crise et de consolidation. Dans la première période, la ville se dégage du système domanial et, malgré la concurrence des châteaux et des monastères, remplace la cité.
Dans la seconde elle s'épanouit dans le cadre seigneurial et monarchique, et dans la troisième elle se soumet au prince et à l'Etat mais devient le lieu du pouvoir et de la culture dominante. Subjuguée, déchirée, elle affirme son prestige et donne le ton. " A l'Etat toujours un peu lourdaud ", la ville prête sa " vivacité irremplaçable... même déchue, la ville continue à tenir le haut du pavé " (Fernand Braudel).
L'opposition ville-campagne prend, ou retrouve, toute sa force |
La ville en France au Moyen Age des Carolingiens à la Renaissance [texte imprimé] / Chédeville, André, Auteur ; Le Goff, jacques, Directeur de publication . - Editions du Seuil., 1980. ISBN : 978-2-02-028201-7 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
Du début du Xème siècle au milieu du XIIème siècle, c'est la phase de genèse, d'ascension urbaine. Du milieu du XIIème siècle aux environs de 1330-1340, c'est l'apogée de la ville urbaine médiévale. Du milieu du XIVème au début du XVIème siècle, c'est une période à la fois de crise et de consolidation. Dans la première période, la ville se dégage du système domanial et, malgré la concurrence des châteaux et des monastères, remplace la cité.
Dans la seconde elle s'épanouit dans le cadre seigneurial et monarchique, et dans la troisième elle se soumet au prince et à l'Etat mais devient le lieu du pouvoir et de la culture dominante. Subjuguée, déchirée, elle affirme son prestige et donne le ton. " A l'Etat toujours un peu lourdaud ", la ville prête sa " vivacité irremplaçable... même déchue, la ville continue à tenir le haut du pavé " (Fernand Braudel).
L'opposition ville-campagne prend, ou retrouve, toute sa force |
|  |