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Détail de l'auteur
Auteur LABICHE EUGENE |
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Titre : Théâtre I Type de document : texte imprimé Auteurs : LABICHE EUGENE, Auteur Editeur : ROBERT LAFFONT Année de publication : 1991 Importance : 897 pages Format : grand format ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-06679-9 Langues : Français (fre) Résumé : e volume contient vingt comédies et un grand nombre de répliques du genre de celles-ci : "Madame votre tante, après m'avoir examiné, m'a dit que je pouvais le présenter comme domestique mâle" (Un garçon de chez Véry). "Ah ! je ne veux plus tuer de charbonnières, c'est par trop salissant " (L'Affaire de la rue de Lourcine). "Pardonnez à mon émotion... j'ai un soulier qui me blesse..." ; "Ce soir, peut-être, je n'aurai pas même une chaise à offrir à ma femme pour reposer sa tête..." (Un chapeau de paille d'Italie).
"Je suis domestique, c'est vrai, mais je n'oublierai jamais que je suis sorti du peuple ! " (Rue de l'Homme-Armé, n°8 bis). "Je veux dan... dan... danser. Toi ! Allons donc ! tu ne peux pas danser... tu es bègue ! " (L'avocat d'un grec). "Vous me devez tout, tout ! (Avec noblesse.) Je ne l'oublierai jamais ! " ; Pingley ? C'est mon cousin ! Vous le connaissez ? - beaucoup (A part.) Je ne l'ai jamais vu ! (...) C'est un bien grand malheur qu'il est son infirmité ! (...) Sourd à quarante-sept ans ! Tiens ! Il est sourd à notre correspondant ? C'est donc pour cela qu'il ne répond jamais à nos lettres ! " (Le Voyage de Monsieur Perrichon).
Chez Labiche, l'intrigue, rebondissante, sécrète sans discontinuer d'énormes mensonges et des justifications ineptes. Les personnages, pris à la gorge, improvisent avec conviction de délicieuses absurdités. Bien entendu, pas un instant l'auteur ne songe à leur donner une portée métaphysique ! Nous avons connu d'autres sortes de "théâtre de l'absurde". Celui-là est drôle.Théâtre I [texte imprimé] / LABICHE EUGENE, Auteur . - ROBERT LAFFONT, 1991 . - 897 pages ; grand format.
ISBN : 978-2-221-06679-9
Langues : Français (fre)
Résumé : e volume contient vingt comédies et un grand nombre de répliques du genre de celles-ci : "Madame votre tante, après m'avoir examiné, m'a dit que je pouvais le présenter comme domestique mâle" (Un garçon de chez Véry). "Ah ! je ne veux plus tuer de charbonnières, c'est par trop salissant " (L'Affaire de la rue de Lourcine). "Pardonnez à mon émotion... j'ai un soulier qui me blesse..." ; "Ce soir, peut-être, je n'aurai pas même une chaise à offrir à ma femme pour reposer sa tête..." (Un chapeau de paille d'Italie).
"Je suis domestique, c'est vrai, mais je n'oublierai jamais que je suis sorti du peuple ! " (Rue de l'Homme-Armé, n°8 bis). "Je veux dan... dan... danser. Toi ! Allons donc ! tu ne peux pas danser... tu es bègue ! " (L'avocat d'un grec). "Vous me devez tout, tout ! (Avec noblesse.) Je ne l'oublierai jamais ! " ; Pingley ? C'est mon cousin ! Vous le connaissez ? - beaucoup (A part.) Je ne l'ai jamais vu ! (...) C'est un bien grand malheur qu'il est son infirmité ! (...) Sourd à quarante-sept ans ! Tiens ! Il est sourd à notre correspondant ? C'est donc pour cela qu'il ne répond jamais à nos lettres ! " (Le Voyage de Monsieur Perrichon).
Chez Labiche, l'intrigue, rebondissante, sécrète sans discontinuer d'énormes mensonges et des justifications ineptes. Les personnages, pris à la gorge, improvisent avec conviction de délicieuses absurdités. Bien entendu, pas un instant l'auteur ne songe à leur donner une portée métaphysique ! Nous avons connu d'autres sortes de "théâtre de l'absurde". Celui-là est drôle.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5147 LAB Livre CDU du Campus Littératures Exclu du prêt
Titre : Théâtre II Type de document : texte imprimé Auteurs : LABICHE EUGENE, Auteur Editeur : ROBERT LAFFONT Année de publication : 1991 Importance : 1186 pages Format : grand format ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-06680-5 Langues : Français (fre) Résumé : On s'aperçoit en lisant les vingt-deux pièces contenues dans le présent volume que Labiche est un véritable écrivain français dans la mesure où ses personnages maltraitent à qui mieux mieux la langue française. Il est le maître de l'impropriété voulue. Chez lui, un père fier de sa fille s'écriera : " Elle vous dirait tous les rois de France qui ont eu lieu... sans broncher ! " (" La Station Champbaudet "). Il recourt traditionnellement aux répliques en porte à faux. Parfois c'est un dialogue de sourds, comique éprouvé, parfois le personnage entend bien, mais ne comprend pas : " Il parle toujours du nez - Mais le nez est un sujet de conversation comme un autre ! " (" Les Trente Millions de Gladiator "). Plus subtilement, il use des explications qui n'expliquent rien. Pourquoi ne ferait-on pas une friture avec les poissons rouges sur lesquels on vient de s'attendrir : " On mange bien des écrevisses ! " (" Célimare le bien-aimé "). Ou bien ce sont des ruptures qui creusent un non-sens à l'intérieur d'une phrase : " Ce n'est pas pour me vanter... mais il fait joliment chaud aujourd'hui ! " (" 29 degrés à l'ombre "). Tous ces personnages ont un air de famille : vaniteux, égoïstes, pas très francs, experts en phrases vides. Faut-il, pour autant, voir en Labiche, comme on l'a fait de nos jours, le peintre féroce d'une bourgeoisie accusée des pires turpitudes ? En fait, bourgeois lui-même jusqu'au bout des ongles, il a peint les ridicules les plus proches de lui, ceux de ses amis, ceux de sa classe, mais avec le sourire, en ami. Jacques Robichez, professeur honoraire à la Sorbonne. Théâtre II [texte imprimé] / LABICHE EUGENE, Auteur . - ROBERT LAFFONT, 1991 . - 1186 pages ; grand format.
ISBN : 978-2-221-06680-5
Langues : Français (fre)
Résumé : On s'aperçoit en lisant les vingt-deux pièces contenues dans le présent volume que Labiche est un véritable écrivain français dans la mesure où ses personnages maltraitent à qui mieux mieux la langue française. Il est le maître de l'impropriété voulue. Chez lui, un père fier de sa fille s'écriera : " Elle vous dirait tous les rois de France qui ont eu lieu... sans broncher ! " (" La Station Champbaudet "). Il recourt traditionnellement aux répliques en porte à faux. Parfois c'est un dialogue de sourds, comique éprouvé, parfois le personnage entend bien, mais ne comprend pas : " Il parle toujours du nez - Mais le nez est un sujet de conversation comme un autre ! " (" Les Trente Millions de Gladiator "). Plus subtilement, il use des explications qui n'expliquent rien. Pourquoi ne ferait-on pas une friture avec les poissons rouges sur lesquels on vient de s'attendrir : " On mange bien des écrevisses ! " (" Célimare le bien-aimé "). Ou bien ce sont des ruptures qui creusent un non-sens à l'intérieur d'une phrase : " Ce n'est pas pour me vanter... mais il fait joliment chaud aujourd'hui ! " (" 29 degrés à l'ombre "). Tous ces personnages ont un air de famille : vaniteux, égoïstes, pas très francs, experts en phrases vides. Faut-il, pour autant, voir en Labiche, comme on l'a fait de nos jours, le peintre féroce d'une bourgeoisie accusée des pires turpitudes ? En fait, bourgeois lui-même jusqu'au bout des ongles, il a peint les ridicules les plus proches de lui, ceux de ses amis, ceux de sa classe, mais avec le sourire, en ami. Jacques Robichez, professeur honoraire à la Sorbonne. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5148 LAB Livre CDU du Campus Littératures Exclu du prêt 5149 LAB Livre CDU du Campus Littératures Disponible