Titre : |
Le coeur bat à gauche |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Lafontaine Oskar, Auteur |
Editeur : |
Paris [France] : éditions michel lafon |
Année de publication : |
2000 |
Importance : |
349 pages |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
24 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84098-547-1 |
Prix : |
3 euro |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
320 943 |
Résumé : |
En donnant les raisons de son départ fracassant du gouvernement Schröder et de la présidence du SPD, le parti social-démocrate allemand, Oskar Lafontaine s'adresse en fait aux socialistes du monde entier, qui à son sens ont perdu leur âme. Il montre comment leurs dirigeants, sous prétexte de modernisation, empruntent les chemins de la droite. Il estime que la " troisième voie " chère à Tony Blair et Gerhard Schröder mène au capitalisme sauvage, à l'exploitation des travailleurs, à l'aggravation des inégalités, et finalement à l'échec. Dans son tour d'Europe de l'idéal trahi, il concède quelques victoires à Lionel Jospin mais l'exhorte, comme tous les autres, à ne pas succomber aux sirènes du néo-libéralisme. L'ancien ministre des Finances d'outre-Rhin propose en échange des solutions précises, un " modèle européen " qui réconcilierait le progrès économique et le respect de l'être humain. Car, insiste-t-il : " Le cœur n'est pas coté en bourse, il bat à gauche. " |
Le coeur bat à gauche [texte imprimé] / Lafontaine Oskar, Auteur . - Paris [France] : éditions michel lafon, 2000 . - 349 pages : couv. ill. en coul. ; 24 cm. ISBN : 978-2-84098-547-1 : 3 euro Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
320 943 |
Résumé : |
En donnant les raisons de son départ fracassant du gouvernement Schröder et de la présidence du SPD, le parti social-démocrate allemand, Oskar Lafontaine s'adresse en fait aux socialistes du monde entier, qui à son sens ont perdu leur âme. Il montre comment leurs dirigeants, sous prétexte de modernisation, empruntent les chemins de la droite. Il estime que la " troisième voie " chère à Tony Blair et Gerhard Schröder mène au capitalisme sauvage, à l'exploitation des travailleurs, à l'aggravation des inégalités, et finalement à l'échec. Dans son tour d'Europe de l'idéal trahi, il concède quelques victoires à Lionel Jospin mais l'exhorte, comme tous les autres, à ne pas succomber aux sirènes du néo-libéralisme. L'ancien ministre des Finances d'outre-Rhin propose en échange des solutions précises, un " modèle européen " qui réconcilierait le progrès économique et le respect de l'être humain. Car, insiste-t-il : " Le cœur n'est pas coté en bourse, il bat à gauche. " |
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