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Internet et les droits de la personne / Yagil, Limore
Titre : Internet et les droits de la personne Type de document : texte imprimé Auteurs : Yagil, Limore, Auteur Editeur : Cerf Année de publication : 2006 Importance : 222 PAGES ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-07861-0 Prix : 20 euro Langues : Français (fre) Index. décimale : 342 085 Résumé : Contrairement à une idée reçue, l'usage d'Internet ne favorise pas l'apparition des idées démocratiques ou d'une " cyber-démocratie ". Les droits de l'homme et de la personne sont régulièrement bafoués par les internautes à travers le monde et par les États, les gouvernements et les compagnies qui se donnent le droit de contrôler de plus en plus la vie du citoyen. Face à une telle situation, il importe de réfléchir sur une nouvelle éthique relative à l'usage du web. La question se pose de savoir qui répond de l'information circulant dans les réseaux ouverts tel l'Internet, responsable des nombreuses " attaques " à l'aide de virus occasionnant des dégâts de plus en plus importants. On ne peut pas endurer, au nom d'une certaine liberté, des conduites qui portent atteinte aux droits fondamentaux du citoyen et de la personne. L'avènement d'une nouvelle culture et de nouvelles relations issues de l'Internet nécessite une nouvelle éthique prenant en compte ces changements qui caractérisent la société de l'information dans laquelle nous vivons. Cette nouvelle éthique devra protéger l'internaute – le salarié, le citoyen, l'administrateur ou le consommateur – comme individu. -- Contrary to a widely-held belief, the advent of the Internet has not facilitated the diffusion of democratic ideas or of a "cyber-democracy'. Human rights are regularly flouted by net surfers all over the world and by States, governments and firms who have seized the right to exert more control over the citizen. Faced with this situation, it is vital to reflect on a new ethical code for the "web'. The essential question is, who is responsible for information that circulates on open networks like the Internet, and who is responsible for diffusing the "bugs' that cause increasingly devastating damage? We cannot, in the name of a certain concept of freedom, tolerate behaviour that disregards the fundamental rights of the citizen and the individual. The advent of a new culture and new relations created by the Internet requires a new code of ethics, one that takes into account the information society we live in and the changes it has produced. This new ethical code must protect the Internet user – whether an employee, a citizen, an administrator or a consumer – as an individual. Internet et les droits de la personne [texte imprimé] / Yagil, Limore, Auteur . - Cerf, 2006 . - 222 PAGES.
ISBN : 978-2-204-07861-0 : 20 euro
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 342 085 Résumé : Contrairement à une idée reçue, l'usage d'Internet ne favorise pas l'apparition des idées démocratiques ou d'une " cyber-démocratie ". Les droits de l'homme et de la personne sont régulièrement bafoués par les internautes à travers le monde et par les États, les gouvernements et les compagnies qui se donnent le droit de contrôler de plus en plus la vie du citoyen. Face à une telle situation, il importe de réfléchir sur une nouvelle éthique relative à l'usage du web. La question se pose de savoir qui répond de l'information circulant dans les réseaux ouverts tel l'Internet, responsable des nombreuses " attaques " à l'aide de virus occasionnant des dégâts de plus en plus importants. On ne peut pas endurer, au nom d'une certaine liberté, des conduites qui portent atteinte aux droits fondamentaux du citoyen et de la personne. L'avènement d'une nouvelle culture et de nouvelles relations issues de l'Internet nécessite une nouvelle éthique prenant en compte ces changements qui caractérisent la société de l'information dans laquelle nous vivons. Cette nouvelle éthique devra protéger l'internaute – le salarié, le citoyen, l'administrateur ou le consommateur – comme individu. -- Contrary to a widely-held belief, the advent of the Internet has not facilitated the diffusion of democratic ideas or of a "cyber-democracy'. Human rights are regularly flouted by net surfers all over the world and by States, governments and firms who have seized the right to exert more control over the citizen. Faced with this situation, it is vital to reflect on a new ethical code for the "web'. The essential question is, who is responsible for information that circulates on open networks like the Internet, and who is responsible for diffusing the "bugs' that cause increasingly devastating damage? We cannot, in the name of a certain concept of freedom, tolerate behaviour that disregards the fundamental rights of the citizen and the individual. The advent of a new culture and new relations created by the Internet requires a new code of ethics, one that takes into account the information society we live in and the changes it has produced. This new ethical code must protect the Internet user – whether an employee, a citizen, an administrator or a consumer – as an individual. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 29839 342 085 YAG Livre CDU du Campus Romans Exclu du prêt La sécularisation de la répudiation / Koumdadji, Abla
Titre : La sécularisation de la répudiation Type de document : texte imprimé Auteurs : Koumdadji, Abla, Auteur Editeur : Cerf Année de publication : 2015 Importance : 391 pages Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-204-09884-7 Langues : Français (fre) Index. décimale : 346 440 Résumé : Fille, femme, mère ou épouse, la femme musulmane intrigue et représente un sujet de perpétuel questionnement. Le s amalgames et les a priori sont nombreux en ce qui la concerne, et par voie de conséquence, l'appréciation de l'islam s'effectue souvent par ce seul prisme. S'intéresser à la répudiation musulmane, c' est s'intéresser à la femme musulmane et à l'islam au sein du couple. D'origine essentiellement religieuse, la répudiation est la rupture unilatérale et discrétionnaire du mariage décidée par l'époux. En droit musulman, elle permet au mari de mettre un terme à la relation maritale sans avoir à se justifier. En France, cette institution est critiquée et même rejetée tant elle paraît étrangère à la civilisation européenne. Pourtant, à y regarder de plus près, la rupture unilatérale et discrétionnaire du couple existe également en droit français avec le divorce pour altération définitive du lien conjugal ou la rupture unilatérale s'agissant du PACS et du concubinage. A lors que la répudiation ne peut être mise en oeuvre que par l'homme, les ruptures unilatérales résultant du droit français peuvent être décidées par l'homme ou la femme. Toutefois, fondamentalement, l es effets sont les mêmes : l'un décide, l'autre subit. Refuser de reconnaître l'existence de modes de ruptures unilatéraux et discrétionnaires, c'est faire preuve de cécité. Sou s couvert de liberté individuelle, nombre de conjoints, de partenaires e t de concubins sont " répudiés " par la volonté d'un seul. Dans ce cas, et comparativement, pourquoi les répudiations musulman es sont-elles si décriées ? Peut-on avoir une position critique à l'égard de la répudiation musulmane lorsqu'il existe au sein même de son dispositif législatif des modes de ruptures ayant une très for te filiation avec la répudiation musulmane ? La sécularisation de la répudiation [texte imprimé] / Koumdadji, Abla, Auteur . - Cerf, 2015 . - 391 pages ; Broché.
ISBN : 978-2-204-09884-7
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 346 440 Résumé : Fille, femme, mère ou épouse, la femme musulmane intrigue et représente un sujet de perpétuel questionnement. Le s amalgames et les a priori sont nombreux en ce qui la concerne, et par voie de conséquence, l'appréciation de l'islam s'effectue souvent par ce seul prisme. S'intéresser à la répudiation musulmane, c' est s'intéresser à la femme musulmane et à l'islam au sein du couple. D'origine essentiellement religieuse, la répudiation est la rupture unilatérale et discrétionnaire du mariage décidée par l'époux. En droit musulman, elle permet au mari de mettre un terme à la relation maritale sans avoir à se justifier. En France, cette institution est critiquée et même rejetée tant elle paraît étrangère à la civilisation européenne. Pourtant, à y regarder de plus près, la rupture unilatérale et discrétionnaire du couple existe également en droit français avec le divorce pour altération définitive du lien conjugal ou la rupture unilatérale s'agissant du PACS et du concubinage. A lors que la répudiation ne peut être mise en oeuvre que par l'homme, les ruptures unilatérales résultant du droit français peuvent être décidées par l'homme ou la femme. Toutefois, fondamentalement, l es effets sont les mêmes : l'un décide, l'autre subit. Refuser de reconnaître l'existence de modes de ruptures unilatéraux et discrétionnaires, c'est faire preuve de cécité. Sou s couvert de liberté individuelle, nombre de conjoints, de partenaires e t de concubins sont " répudiés " par la volonté d'un seul. Dans ce cas, et comparativement, pourquoi les répudiations musulman es sont-elles si décriées ? Peut-on avoir une position critique à l'égard de la répudiation musulmane lorsqu'il existe au sein même de son dispositif législatif des modes de ruptures ayant une très for te filiation avec la répudiation musulmane ? Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 29842 346 440 KOU Livre CDU du Campus Droit Disponible